En effet, souvenons nous qu'en 2006, j' avais demandé à la juge d'instruction Nathalie LACAULE, un acte complémentaire ayant pour but d'analyser la puce téléphonique du téléphone portable d'ALEXIA.
Prétextant que :"cette affaitre avait déja couté assez cher et qu'il n'y avait certainement rien dans cette puce", elle refusa ma requête.
J'ai réclamé "X" fois que cette puce me soit restituée, sans que jamais on ne daigne me répondre.
Mi février 2015, pour la Nième fois, mon conseil réclama la restitution de cette pièce.
Fin mai 2015, Mme La Procureure du TGI de Montauban, nous signifia son "REFUS DE RESTITUTION", prétextant que cela "pourrait nuire à la manifestation de la vérité en cas de réouverture du dossier" (Courrier de Madame La Procureure- mai 2015).
Il est quand même stupéfiant, qu'après tant d'années de procédures destinées à réouvrir cette information judiciaire, avec une telle obstination, que l'on puisse m'opposer un tel argument.
Souvenons nous quand même que ce soir du 30 mars 2001, vers 18h00, ALEXIA reçut un appel téléphonique qui a précipité son départ de la maison, alors qu'il faisait encore jour.
Il semble évident que l'analyse de la puce téléphonique, nous donnera l'origine et l'identité de celui qui lui a téléphoné....
Tout le monde s'accordera à dire qu'une simple enquête bien faite apportera assez aisément les réponses attendues.
Si le Parquet de Montauban veut réouvrir ce dossier, surtout qu'il ne se gêne pas.
Dont acte...